Fiche : Illustrer le conte en pop up
Découpage du conte :
Conseil de découpage du compte (une page pop up par élève en moyenne)
Conseil technique : imprimez votre partie, ça pourra vous servir par la suite (pour intégrer le texte au fond, de manière à ce que ce soit harmonieux.
Conseil pratique : pensez à prendre tous votre feuille dans le même sens ! faite un choix mais format paysage ou portrait mais pas les deux (désagréable pour le lecteur)
Utilisez plutôt des feuilles cansons, Si c'est le cas, pensez à les retailler au ciseau (plus grand qu'un format A4) pour l'assemblage du livre.
1. Couverture du livre
2. Dans une case, autour d’une grand- mère, une veillée …
3. Il y a Oko le griot, la famille et quelques amis. Le griot conte son histoire, l'histoire du Mirabilis, une fleur magique qui guérit toutes les maladies. Selon la légende , cette fleur pousse seulement dans le désert de Watakiti.
4. «Cette fleur existe peut-être » dit Weke à sa sœur .
« Oui imagine qu'elle existe , on pourrait sauver notre grand-mère ! » lui répond Tahiya .Les enfants veulent
en savoir un peu plus, et vont voir Oko après son histoire .
« Cette fleur existe vraiment Oko ? » demandent les enfants.
« Alors pourquoi , racontes -tu cette histoire si elle n'est pas vraie ! » demande Weke ,
« Pour amuser les gens Weke ,dit Oko , de plus c'est mon métier! je sais les enfants que vous voulaient sauver votre grand-mère ,mais il n'y a pas d'espoir ! »
Les enfants s'en vont d'un air triste .
« Attend !,dit Tahiya , je suis sure que cette fleur existe. Oko a surement dit ça sans réfléchir ! »
6. Weke hésite mais finit par dire :
« Tu as raison , il faut qu'on sauve grand-mère . Ce soir , après le diner ,nous prépareront nos affaires . Une fois que tous le monde sera endormi, nous partirons …. »
« Oui , mais … n'oublie pas que nous ne savons pas comment nous rendre au désert de Watakiti ! » s'exclame Tahiya .
« Ce n’est pas grave , dit Weke , Nous demanderons notre chemin ! »
7. Pendant le dîner personne ne parle, les deux enfants pensent à leur grand-mère . Après le dîner tout le monde est fatigué et va rapidement se coucher. Zaina, la mère des enfants vient border Weke et Tahiya qui font semblant de dormir mais une fois leur mère sortie de la chambre :
8. « Tahiya tu es prête ? »demande Weke
« Oui, prends ton sac sous le lit et partons avant que quelqu’un ne se réveille ! »répond sa sœur.
Ils sortent discrètement de leur lit, traversent la case avec leurs sacs.
Une fois dehors, ils se retournent pour vérifier que personne ne les a vus.
Avant de partir, ils pénètrent dans la case de leur grand-mère endormie et Tahiya lui murmure à l’oreille :
Ils l’embrassent tous les deux tendrement et s’en vont sur la pointe des pieds. Ils quittent le village et s’enfoncent dans la nuit noire à la recherche de la plante miraculeuse.
Les hommes partent en brousse à la recherche des enfants laissant Zaina éplorée au chevet de sa mère.
« Bonjour! : Salamalekum ;pouvez vous nous donnez un chameau car notre grand-mère est gravement malade et nous devons lui amenez une plante. Seule cette plante peut la guérir ! »
12. « Malekum salam les enfants ! D'accord ,mais à une seule condition …» répond le marchand
« Laquelle? » Dit Tahiya
« Que vous réunissiez tous les chameaux dans leur enclos ! Et ce n’est pas tâche aisée ! Ca marche ? »
« Mingi dox, ça marche ! »
Immédiatement ils se mettent à l’ouvrage. Une fois qu'ils ont fini , ils vont vers le marchand et Weke dit :
13. -Monsieur nous avons fini pouvez vous nous donnez un chameau s'il vous plait ?
-D'accord vous l'avez bien mérité .Tenez celui-là mais attention une fois qu'il a soif il n'avance plus
14. Weke et Tahiya reprennent la route , ils voient un village au loin mais le chameau s'arrête : il avait soif . Tahiya reste avec le chameau pendant que Weke va dans le village pour trouver de l'eau et demander où se trouve le mirabilis. Il entre dans le village une case attire son attention il s'approche tout doucement une voix lui dit :
« Entre petit je sais que tu es là ! »
« Comment le savez vous ? »répond Weke
« Je suis sorcier et voyant. » répond le vieil aveugle.
Weke est très choqué , il prend la bouteille et lui répond :
« Merci beaucoup ! »
« Attends petit, attention aux mirages, ils vont te perdre ! » rajoute-t-il.
« Weke,Weke, regarde une oasis ! »
« Mais oui, vite alors, allons-y vite !dit Weke
Ils courent voir mais l’oasis s’éloigne et ils se rendent compte que c’est un mirage. Les voilà à bout de souffle , perdus. Ils s’accroupissent au pied d’un baobab désespérés :
17. Ils entendent :
« Weke, Tahiya , ne vous découragez pas ! »
Ils ont reconnu la voix de leur père.
« C’est toi papa ? »dit Weke
18. « Oui » répond le baobab « Allez voir dans le village qui est à votre gauche, il y a une vieille femme qui s’appelle Adama. Elle sait exactement où se trouve cette oasis…. »
« Merci papa, mais comment sais-tu tout ça ?
Le baobab reste muet malgré les questions des enfants. Ils suivent les conseils de leur père et rentrent dans le village.
19. Ils croisent une vieille villageoise :
« Bonjour madame, connaissez-vous Adama ? » dit Weke
« C’est moi » répond la vieille femme . « Que voulez-vous de moi ? »
« C’est urgent, notre grand-mère est gravement malade. Il faut lui ramener le mirabilis, on m’a dit que vous seule savez où le trouver. »
« Oui, suivez-moi !
20. Adama les emmène jusqu’à l’oasis après quelques heures de marche et une fois arrivés, elle leur dit :
« Il y a un serpent qui garde cette plante et jamais personne n’a réussi à prendre cette plante. Je ne sais vraiment pas comment le combattre. Moi je rentre au village ! »
Merci ,Madame « dit Weke.
21. Les deux enfants aperçoivent le serpent, ils ont peur mais s’avancent. Weke se munit d’un bâton et d’une pierre mais Tahiya l’arrête et lui dit :
« Attends, je ne crois pas qu’il faille le combattre ,je pense qu’il faut plutôt y aller doucement ! »
« Tu as raison ! »
22. Tahiya approche sa main et caresse le serpent qui ne réagit pas et laisse Weke cueillir le mirabilis. Tous les deux sont sur le coup très heureux et s’en retournent au village mais ils éprouvent un grand sentiment de tristesse en pensant à leur père qu’ils auraient pu sauver. Non loin du village, ils voient les villageois ,qui euphoriques de les avoir retrouvés ,crient à l’attention de Zaina : « Ils vont bien : Ñunga fa rekk ! »
23. La plante est remise au sorcier qui remet sur pied la grand-mère qui s’adresse aux villageois et à ses petits enfants :
« Là où il y a l'amour, la nuit ne tombe jamais. »
24. Et s’ensuivent des jours de fêtes pour célébrer le courage des deux enfants !
Fin .
25. 4ème de couverture : liste des élèves etc.
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